Escriure el desig. De ´La Celestina´a Maria-Mercè Marçal

978-84-92542-81-9

Nouveau

Écrire le désire. De ´La Celestina´ à Maria-Mercè Marçal

Plus de détails

In Stock

19,00 €

En savoir plus

2013, 248 pp.

 

On dit que l’un des premiers sens de « désirer » en latin était « arrêter de contempler les étoiles » ; d’ici vint le sens moral de « constater l’absence de quelque chose » et, plus tard, l’idée prospective de chercher ce que nous manque. Dès son origine, tant la littérature que le cinéma glorifient la force du désire comme une loi principale de la conduite humaine et comme une mesure pour juger les personnes, sans aucune norme sociale ou morale. « Escriure el desig » analyse des diverses représentations littéraires et cinématographiques de la tension entre le je et l’autre fascinant ou terrible, une impulsion que s’identifie avec le désire et se matérialise de différentes manières, du désire de traverser les limites que nous séparent de l’autre à celui de le posséder ou l’annuler comme à d’autres. Le désire n’est pas seulement porteur de vie et de mort, mais en plus il agit de manière mystérieuse et contradictoire. Ce livre n’a pas une prétention exhaustive et même pas représentative de l’histoire littéraire ou même de l’époque contemporaine. Pourtant, tous les textes lus, coïncident à remettre en question une conception du sujet que le défine comme un organisme stable, ne pas exempte de tension et cependant capable de dominer les forces qui détruisent son unité et cohérence, des forces que sont résumées souvent dans la catégorie du désire. Certains textes proposent implicitement une nouvelle conception du sujet, au-delà du conflit entre la domination et sa défaite fatale, et donc ouvrent la possibilité de le concevoir d’une autre manière, chose qu’impliquerait renoncer à l’illusion d’unité et de stabilité.

Opinions

Aucun avis n'a été publié pour le moment.

Escriviu una valoració

Escriure el desig. De ´La Celestina´a Maria-Mercè Marçal

Escriure el desig. De ´La Celestina´a Maria-Mercè Marçal

Écrire le désire. De ´La Celestina´ à Maria-Mercè Marçal