Història local. Recorreguts pel liberalisme i el carlisme. Homenatge al doctor Pere Anguera (I)

2012, 506 pp.

Ce volume est un recueil de textes présentés dans le Congrés Internacional Pere Anguera sur «Història local. Recorreguts pel liberalisme i el carlisme», deux blocs de réflexions dont le docteur Pere Anguera a mis l’accent et a fourni l’histoire locale et de la Catalogne de recherches intéressantes et généreuses. Par rapport à l’histoire locale, il a contribué à démanteler le doute de comment comprendre et faire une bonne histoire locale, en apportant la correspondance nécessaire avec l’histoire générale et en atteignant un bon design graphique. Les contributions des différents auteurs apportent une vue polyédrique et des nouveaux apports historiographiques de réalités et espaces différents. Elles cherchent dans chaque cas que les questions formulées aient des séquences de résolution cohérente dans des travaux qu’ esaient d’apporter de la lumière à divers paramètres compréhensifs locaux. Dans le deuxième bloc, référé au libéralisme et au carlisme, l’honoré a dépassé tout en établant les bases programmatiques de ce que signifie être carliste bon gré mal gré dans le contexte catalan du siècle XIX, et les actuations et vicissitudes au temps de paix et guerre, à partir de la réalité comme régionale et nationale. Les apports des historiens au volume précisent ou augmentent des sujets déjà ébauchés et entament des nouveaux regards visionnant le changement produit dans un siècle XIX agité, lorsque le libéralisme configurait l’État et le carlisme s’est structuré, en matière de guerre, afin d’y faire face. De cette façon, ce volume analyse les périodes de guerre, les structurations de libérales et carlistes par rapport à des personnes, la symbolique du libéralisme et du carlisme, l’idiosyncrasie des leaders de la période, les constructions, les approvisionnements des militaires par la population civile, les perspectives transfrontalières des conflits suscités, la cartographie du carlisme, etc. Cette œuvre, en conjoint, permet d’approfondir en deux pôles d’études historiques, qui sont en permanent progrès méthodologique, un signe évident de sa solidité historiographique.