978-84-92542-77-2
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Fonds Josep Maria Trias Peitx (1900-1979)
162 pp. 2013
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Josep Maria Trias Peitx (Barcelona, 1900–Prada de Conflent, 1979). Étant jeune il a milité à la Communion Traditionaliste de Barcelone. À l’âge de quatorze ans il commence à travailler dans la fabrique de son grand-père maternel, un travail qu’il a concilié pendant certains ans avec le suivi de la bourse de Barcelone par le journal El Correo Catalán, où son père travaillait, et avec le métier de caissier au Banc de Barcelona. Il a milité dans les rangs du traditionalisme jusqu’à ce que, après les élections au Parlement de juin 1931, avec d’autres militants, il s’est scindé. Il a milité à Unió Democràtica de Catalunya dès le début, où il a joué un rôle très important pendant la Guerre Civile d’Espagne et l’exil en France. Pendant ces années se détachent ses actuations pour sauver des personnes persécutées par motifs de conscience à l’arrière-garde de la Catalogne et par les démarches effectuées entre la République et le Vatican. Les premiers ans d’exil ont aidé des milliers de réfugiés catalans et espagnols à sortir des champs de réfugiés français et il est intervenu, d’un exil auto-imposé, dans le premier congrès d’EDC après la dictature françoise, célébré le 1976. Il est mort le même jour de l’accord sur le Statut qui, après son approbation, a ouvert les portes à l’autonomie de la Catalogne par laquelle il avait lutté toute sa vie. Ce nouveau volume de la collection Papers del Pavelló nous offre un rapprochement au très intéressant fonds personnel de Josep Maria Trias Peitx, un personnage totalement méconnu jusqu’à tout récemment et qui a pris une importance très détachable pendant la Guerre Civile Espagnole et l’exil de l’an 1936 et celui du 1939. Trias Peitx, qui a occupé le poste de premier secrétaire général d’Unió Democràtica de Catalunya pendant la deuxième République, a mené à bien une tâche importante d’aide, protection et sauvetage de personnes persécutés par motifs de conscience pendant la Guerre Civile Espagnole, en même temps qu’il est devenu un pilaire fondamental à la tentative de rétablir les relations entre la République Espagnole et le Saint-Siège. Le mois de février 1939, déjà exilé à France, il est devenu leader indiscutable d’une initiative qui, selon les calculs du propre Trias, aurait atteint libérer des camps de concentration français plus de 70.000 réfugiés espagnols : le Comité National Catholique d’Aide aux Réfugiés de l’Espagne. Le fonds personnel de Josep Maria Trias Peitx est un témoignage de majeur de toutes les initiatives humanitaires, politiques et culturelles auxquelles cet esprit incombustible a été lié pendant toute sa vie. Ce sont ces initiatives qui l’ont maintenu étroitement lié à sa patrie malgré son exil volontaire en France –Trias n’était pas disposé à revenir en Catalogne qu’après l’obtention de l’autonomie–.
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