978-84-92542-78-0
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Pays de papier
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Le nom «Països de paper» est mis en relation avec les pages que le critique littéraire Francesc Calafat écrit dans le «Quadern» d’«El País» du Pays Valencien, intitulées «Un país de paraules», grâce auquel, l’idée de la littérature, comprise en ternes de création de géographies mentales, imaginaires, résulte attractive. La fiction et la vie, pourquoi pas?, sont vues comme des mondes de paroles. La littérature, à quoi serve-t-elle? Est-elle nécessaire pour penser clairement? L’analyse littéraire, comme affecta-t-elle notre attitude sociale ou politique? Ce sont des questions que, ouvertement ou indirectement nous sont faites présents. Et pourquoi? Parce que les questions plus basiques, à part d’être les plus compliquées, elles sont normalement les plus importants. Et même si des réponses définitives ne sont pas élaborées, des attitudes et des orientations sont dirigées. L’écriture c’est deux en un: l’écriture et son miroir. La littérature s’est nourrie et s’est régénéré, en grande partie, grâce à la réflexion sur l’expérience esthétique. Et les commentateurs des livres sont une partie du miroir. La critique dans son conjoint aspire à être la conscience de la littérature, parce qu’elle signale, évalue et demande publiquement les apports des écrivains. La littérature est le résultat des jeux ou liens établis entre elle-même et les discours qu’elle génère. D’après tous les responsables, c’est le résultat d’une grande conversation. Souvent le dialogue est transformé en des jeux de visions et intérêts opposés et parfois irréconciliables. Le contraste est productif. Tout le monde peut commettre des erreurs. Et, par conséquente, il faut des éclaircissements. Est alors quand le débat est généré, bien que souvent soie par voie implicite.
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