Valencianistes en la postguerra. Estratègies de supervivència i de reproducció cultural (1939-1951)

2010, 318 pp.

L’éclat du valencianisme culturel pendant le dernier tiers du XX^ème siècle ne s’explique qu’en tenant compte de sa période de gestation aux premières années de la postguerre. La victoire du franquisme représenta annihilation presque absolue de n’importe quelle manifestation publique de la langue et la culture autochtones ; mais, malgré l’ambiance répressive, des petits groupes de valencianistes de la ville de Valence purent faire public le catalan et assurèrent la continuité de sa culture. Ce livre analyse les stratégies, le programme valencianiste de chaque groupuscule, comme ils ont surpassé les obstacles du franquisme et quel fut son gré de complicité avec les autorités locales, chose qu’après tout provoqua une guerre civile parmi valencianistes. On y étudie comme le régime profita le sentiment valencianiste et changea de stratégie aux années quarante, et aussi comme on construisit la réseau de relations avec la Catalogne et Majorque, qui eut tant d’importance les années ultérieures. Aussi on y explique les difficultés des valencianistes survivants pour continuer sa tâche culturale et les politiques du régime vers la langue et la culture catalanes au País Valencià. D’autre côté, Faust Ripoll, s’enfonça dans les causes du virulent affrontement qui eut lieu entre les deux groupes valencianistes non officiels : celui de Carles Salvador et le groupe Torre, formé autour de Miquel Adlert et Xavier Casp.